| | zoéline cendres ledighton | |
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Zoéline C. Ledighton
Nombre de messages : 11 Humeur : Fluette Date d'inscription : 29/10/2008
| Sujet: zoéline cendres ledighton Mer 29 Oct - 18:38 | |
| Il était une fois....Zoéline Cendres Ledighton_______________feat.Cory;KENNEDY « C'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans un monde de fous. » Nom; « Je ne porte pas le nom de mon père mais bien celui de ma mère, à savoir Ledighton. Non pas que mon père ne m'ait pas reconnu comme sa fille légitime, mais c'est une coutume - si l'on peut nommer ainsi les lubies de ma famille - que de perpétuer le nom du père de famille via une de ses filles s'il n'a eu aucun garçon chez nous. Mais cela ne tient que sur une génération. Si jamais mes parents venait à n'avoir qu'une fille, moi, je prendrais le nom de mon père illico presto afin de donner une chance à son nom de continuer d'exister à travers mon futur petit garçon - si je venais à en avoir un. Les autorités n'apprécie pas vraiment ces magouilles administratives de notre part. Grand mal leur en fasse, nous n'avons pas l'intention de nous arrêter. » Prénoms; « Zoéline est mon prénom usuel, si l'on peut dire ainsi. Une invention venant directement de l'esprit doté d'une imagination sans borne de mes parents, je dois leur accorder cette qualité. Il n'a pas de signification particulière aux yeux de la plupart des gens excepté à ceux de mes géniteurs. Pour eux, il symbolise la nature à l'état sauvage... Notons qu'ils voulaient me prénommer Féline au départ. Quant à mon deuxième prénom, Cendres, il s'agit d'une trouvaille de ma marraine à son retour d'un voyage en France. Je l'aime beaucoup, surtout à cause de son originalité - bien que je me garde de donner la signification de celui-ci depuis que je la connais. » Surnoms; « Le premier - et le plus courant - est Zoé. Il est de loin celui que j'apprécie le plus, allez savoir pourquoi. Sûrement parce que personne ne m'a jamais vraiment appeler Zoéline ? Ce fut, et c'est encore, Zoé par ci, Zoé par là. A force, on s'y habitue. Mais je dois avouer que je suis friande de surnoms nouveaux et originaux, histoire de sortir un peu de la routine. » Âge; « Hm... Scientifiquement, cela fait seize ans que j'existe mais techniquement, quinze ans que je suis née. » Date et Lieu de Naissance; « Mes parents ont décrétés que ma véritable naissance n’était pas à la date inscrite dans le livret de famille, à savoir le trois mars, mais bien avant. En effet, ils sont convaincus que l’on devrait commencer à compter l’âge de son enfant non pas à sa première bouffée d’oxygène à la sortie du ventre de sa mère, mais à la conception de celui-ci. Par conséquent, j’ai deux lieux de naissance : celui que prône mes parents et celui inscrit sur l’acte de naissance, respectivement Cuba et Camberley. Retenez uniquement la deuxième. » Année Scolaire; « Cela fait la cinquième année que je m'évertue à essayer de suivre un cours de potion sans tout faire exploser. » Sexe; « Il me semble bien que je suis une fille, j'ai de la poitrine, un caractère de cochon mais - Dieu merci - rien entre les jambes. » Orientation Sexuelle; « Très bonne question que celle-ci. Question que je ne me suis d'ailleurs jamais posée et à laquelle je n'ai pas de réponse immédiate. Dans le doute, je dirais que j'aime autant les huîtres que les escargots. » Baguette; « Ma baguette a été fabriquée avec du bois de frêne, robuste si l'on en croit le passé moldu puisque les lances des soldats étaient produites à partir de ce bois. Mesurant vingt-trois centimètres, elle contient un crin de licorne. J'ai tendance à croire que cette baguette a une prédisposition à faire exploser le moindre obstacle obstruant sa route... » Sang; « Sûrement que dans cette veine-ci coule du sang pur - et carmin, et que dans cette veine-là coule du sang moldu - toujours carmin ; résultat, dans cette dernière veine que voilà, ces deux sorte de sang se mélangent et forment un magnifique sang-mêlé mais devinez quoi ? Eh oui, il est toujours carmin. Dingue non ? »
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| | | Zoéline C. Ledighton
Nombre de messages : 11 Humeur : Fluette Date d'inscription : 29/10/2008
| Sujet: Index- Fiche RP Mer 29 Oct - 23:32 | |
| chaptero.1- BATAILLE AU SOMMET {Family story chaptero.2- POUDLARD ET Cie {Zoéline story
resume- 4ème DE COUVETURE `Cendrillon s'est teinte en brune et porte des converses` Voilà en quelques mots comment pourrait se résumer l'histoire de Zoéline Ledighton si la frêle poupée ne portait pas un lourd secret. Non, elle n'est pas une héroïne qui se doit de sauver le monde toutes les cinq minutes sans avoir le temps de faire une pause café avec ses amis les super héros - le monde aurait eu du mouron à se faire si ça avait été le cas. Elle n'est pas non plus dotée de super pouvoirs comme celui de figer le temps ou d'exploser des démons, non. Zoéline est bien pire. Mettez un éléphant et une souris dans un magasin de porcelaine et vous obtenez l'effet produit par cette jeune fille se nommant Ledighton en pleine action avec une baguette magique dans un monde peuplé de sorciers. Effrayant, n'est-il pas ? Des maladresses enchaînées les unes après les autres, une famille au sommet de la folie, des amis faisant les quatre cent coups et un rat, voilà ce qui rythme quotidiennement la vie d'une adolescente complètement barrée dans une école de sorcier.
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| | | Zoéline C. Ledighton
Nombre de messages : 11 Humeur : Fluette Date d'inscription : 29/10/2008
| Sujet: Story of family Jeu 30 Oct - 0:20 | |
| chaptero.1- BATAILLE AU SOMMET Étrange… Pourquoi était-ce si calme alors qu’elle savait pertinemment qu’ils étaient tous présent dans le coin. Elle en était sûre pour les avoir vue quelques minutes plus tôt. D’un geste leste, elle se pencha vers le sol immaculé de blanc et effleura les cristaux solides du bout des doigts. Elle frissonna à ce contact mais sentit la menace qui pesait sur ses épaules en ce moment. Elle faisait une cible de choix là, debout au milieu du champ désert et gelé par le temps de ce mois de janvier. Sans y paraître, elle confectionna plusieurs boules de neiges malgré le bout de ses doigts rougis. A cet instant, elle se maudit de ne pas pouvoir utiliser sa baguette mais la règle était clair : les sorciers qui participaient n’avait en aucun cas le droit d’user de magie.
ZOE- « Merde ! »
Elle fit grincer ses dents ce qui lui donna la chair de poule et la fit s’arrêter de suite. Si elle avait eut sa baguette sous la main, aucun doute qu’elle les aurait tous démasquée en un rien de temps. Elle aurait aussi put se réchauffer un tant soit peu les mains en faisant venir à elle sa paire de gants oubliés sur son lit. De mauvaise grâce, elle enfonça un peu plus son bonnet de laine sur ses oreilles et enfouit son nez dans son écharpe ; autant se protéger avec ce qu’elle possédait plutôt que de se lamenter sur ce qu’elle n’avait pas. Percevant un mouvement sur sa gauche, elle cessa de ruminer dans son écharpe et guetta les alentours. Elle eut juste le temps d’apercevoir un bout d’écharpe rouge voler avant qu’il ne disparaisse derrière la vieille remise en bois de son grand-père. Un sourire victorieux naquit sur ses lèvres et elle fit mine de se baisser pour lacer ses bottes alors qu’elle saisit en faite une boule sur le haut de son tas pour la lancer sur sa droite.
FAMILLE1- « Aouch ! Zoéline, ça fait un mal de chien quand tu tires. Alors essaye de ne pas tirer dans les endroits sensibles s’il te plaît ! » ZOE- « Tu veux dire que j’ai touchée… oh ! Pardon… » FAMILLE1- « Non, pour une fois non. Je l’ai eu dans la figure mais, nom d’un furoncle !, ça fait presque aussi mal. »
Zoéline, du haut de ses quatorze ans, se mit à rire d’une façon qui lui était propre : c'est-à-dire en se tenant le ventre, se retenant de se rouler par terre et à gorge déployée. Son rire était assez effrayant pour tout dire. A mi chemin entre le grognement et la chèvre, elle évitait de ce fait de rire en publique tant qu’elle le pouvait afin de ne pas terroriser son entourage. Mais elle n’eut pas le temps de se délecter plus longtemps de sa victoire sur son ennemi qu’une boule de neige la percuta, la faisant se plier en deux sous le choc, le souffle coupé. Zoéline chancela sur ses pieds un court instant qui lui parut une éternité avant qu’elle ne tombe le nez dans la neige. Autour, des rires fusèrent et la bataille s’engagea. Les jeunes, les adultes et mêmes les personnes âgées se prêtèrent au jeu que leur offrait la neige. La jeune fille entendit un projectile siffler dans l’air juste au dessus de sa tête. Consciente que rester à terre serait le meilleur moyen d’éviter toutes nouvelles attaques, son esprit combattif – et sûrement suicidaire – prit néanmoins le dessus et la fit se lever pour se ruer sur sa prochaine victime avec un rire dément...
« … après quoi Noah m’a fait manger de la neige, en écho à la farce que je lui avais fait cet été avec le gâteau ensablé. Je ne me doutais pas qu’il était si rancunier ! Note pour plus tard : ne JAMAIS provoqué Noah, question de survie élémentaire, chapitre 6 dans mon guide de survie personnel. Le pire, c’est que je ne peux même pas lui faire de tour avec ma baguette vue qu’il est lui aussi sorcier. Encore heureux qu’il n’est pas à Poudlard lui aussi, Durmstrang lui va très bien et je peux me promener dans les couloirs sans craindre qu’il ne m’attaque par surprise… Il est parfois aussi gamin que moi, ça m’exaspère. J’ai le droit de réagir comme ça moi, je n’ai que quatorze ans, j’ai l’excuse de l’âge ! Mais lui, à dix-sept ans il fait des conneries et personne ne lui dit rien. Je jure que si je me comporte comme lui à son âge et que l’on me fait une réflexion, je transforme la personne en Pitiponk. Noah et son immaturité affligeante mis à part, la bataille d’aujourd’hui nous a tous fait du bien. J’ai mangée beaucoup trop de neige à mon goût et rencontrée trop de fois le sol, mais c’était marrant. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, ce jour-là avait été le témoin d’un conflit horrible. Et je ne parle pas de boule de neige. Notre famille fonctionne selon un code complexe. En plus du nom de famille changeant en fonction du sexe de l’enfant, il est de coutume qu’un homme « dirige » notre famille. En gros et en simplifié, c’est lui qui s’occupe de gérer les finances de la famille, qui régularise les dépenses de chacune afin de faire prospérer l’entreprise familiale, c’est lui aussi qui dirige cette entreprise. Pour que chacun puisse émettre son avis, un vote est organiser afin d’élire la personne qui s’en occupera, un peu comme les élections présidentielles à plus petite échelle. Une différence aussi, par rapport aux élections présidentielles, les adolescents peuvent eux voter à partir de quinze ans. Entre nous, heureusement que je n’ai pas encore l’âge, tout ça me passe au dessus de la tête mais complètement. Je suis très bien installée dans mon innocence où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, merci bien. … Je viens de relire ma dernière phrase… Je fais preuve d’autant d’immaturité que l’autre abruti, maman ! Je ne veux pas ressembler à ce truc qui me sert de cousin pitié. Promis, je vais me reprendre en main, mais je ne veux surtout pas être comme lui ! Bref, après cette prise de conscience soudaine et les trois heures qui ont suivit à méditer sur le sens que prenait ma vie, je reprends mes explications. Je disais donc, en temps normal, une élection a lieu afin d’élire le représentant de la famille mais cette fois-ci, il y a comme qui dirait eu un incident durant le déroulement de la cérémonie. Mon oncle au 3ème degré a pété une durite après que son fils n’ait pas été élu. Il a harcelé mon petit-cousin qui lui a été élu à l’unanimité. Mais le harcèlement a prit de tels proportions qu’il a faillit y avoir un mort. Cet abruti d’oncle au 3ème degré est allé jusqu’à le menacer avec une arme à feu moldu de rendre sa place de dirigeant de la famille à son fils. Car oui, aucun des deux n’étaient sorcier, fort heureusement. Je ne dis pas que les armes moldus sont inoffensives, d’ailleurs elles me font sacrément flippées de près, mais la magie est une arme redoutable dans de mauvaise main. Mais tout c’est bien terminé, le fou dangereux a été quelque peu, pour ne pas dire carrément, évincé de la famille et mon petit cousin est toujours à la tête de la famille et il se débrouille très bien – d’après les adultes, je ne m’intéresse pas à ça pour le moment. S’il se représente l’année prochaine, je voterais pour lui je crois. Raaah zut, j’ai encore cassée ma lampe de bureau, papa va me tuer ! C’est la troisième ce mois-ci. Ce n’est pas de ma faute si mon bras l’a malencontreusement cognée un peu trop brusquement et qu’elle est allée se fracasser sur le sol de ma chambre, si ? Ah ? J’entends le portique du jardin qui grince, signe qu’il arrive… Vite, il faut que je cache les débris de ma défunte lampe avant qu’il ne voit ça et qu’il ne s’énerve. En plus, je dois lui montrer la remarque du prof de potions… Par le caleçon de Merlin, je suis fichue. »
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| | | Zoéline C. Ledighton
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| Sujet: Story of Zoéline Jeu 30 Oct - 14:36 | |
| chaptero.2- POUDLARD ET Cie first year- Tout était calme dans la petite maison des Ledighton, pas un bruit ne vint perturber le silence qui régnait en maître aux alentours. Il n’était que six heures du matin à Camberley et pourtant, quelques timides rayons du soleil vinrent titiller les murs de pierres couvèrent de lierres sur le versant ouest et de rosiers sur le versant sud. Jamie et sa fille adoraient les plantes et s’amusaient à en cultiver le plus possible dans leur immense serre faite de verre qui trônait en plein milieu du champ bordant la maison. Le père, heureux d’avoir trouvé quelqu’un à qui parler de sa passion en la personne de sa fille, lui avait enseigné tout ce qu’il savait sur les plantes, qu’elles soient magiques ou non. La fillette de onze ans maintenant, appréciait énormément les moments qu’elle passait seule avec son père dans ce qu’elle appelait « le jardin secret ». Personne, excepté eux deux, n’était autorisé à pénétrer dans ce lieu. Même Megara, aussi proche de sa fille fut-elle, n’eut que de très rares occasions de voir ce que tramait son époux et Zoéline. La mère de famille était toujours époustouflée de voir son rejeton avec un si grand sourire scotché sur le visage quand venait l’heure de s’occuper des plantes. Au début, elle avait craint que la maladresse dont faisait preuve sa fille ne l’empêche de continuer les soins qu’elle prodiguait aux plantes mais elle fut agréablement surprise quand son mari lui confia un soir qu’elle n’avait jamais rien cassé dans la serre. Comme quoi, si elle le voulait, la petite gaffeuse pouvait être très consciencieuse. Celle-ci, enroulée dans son drap, la couette reposant au pied du lit, dormait profondément. Du moins jusqu’à ce que retentisse un cri strident, qui rebondit sur les murs de la maison avant d’atteindre la Belle aux Bois Dormant.
MEGARA- « ZOEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!! »
L’interpellée sursauta, regarda tout autour d’elle l’air hagard. La fillette n’avait jamais été du matin et généralement, se réveiller si tôt la mettait de fort méchante humeur. Ses yeux menacèrent de se refermer pour plonger à nouveau dans les méandres du rêve avant qu’elle ne saute sur ses pieds quand sa mère réitéra l’appel d’une voix menaçante. La jeune sorcière manqua de se prendre les pieds dans sa couette et de s’étaler lamentablement par terre, mais elle se retint in extremis au bord de la fenêtre donnant sur le champ. Avec précipitation, elle enfila ses pantoufles et courut dans les escaliers afin de rejoindre l’étage supérieur. Elle trébucha plusieurs fois, se cognant les genoux contre les marches mais elle ne ralentit pas. Zoé était consciente que si sa mère l’appelait encore une fois, c’était le sermon assuré. Elle continua de courir comme une dératée et ne s’autorisa à ralentir qu’une fois la porte de la chambre de ses parents en vue. Essoufflée, elle poussa la porte en chêne pour voir sa mère perchée sur le lit, tandis que son père semblait chercher quelque chose sous le lit. Quant elle la vit, Megara s’autorisa à respirer, ce qu’elle semblait avoir arrêtée de faire. Ses yeux étaient exorbités et sa chevelure brune habituellement toujours impeccables – oui, même le matin au réveil – se dressaient sur sa tête de façons désordonnées, conférant un aspect un peu fou à la femme. Zoéline s’approcha d’elle et se rendit compte qu’elle tremblait.
ZOE- « Maman ? Qu’est-ce qui se passe ? » MEGARA- « TON RAT ! Voilà ce qu’il se passe ! Ton fichu rat se balade dans ma chambre en ce moment même ! » JAMIE- « Notre chambre chérie… »
Megara jeta un regard noir à son mari, lui intimant de se taire et de continuer de chercher. Celui-ci ne se fit pas prier et retourna explorer le dessous du lit, trop content d’échapper au courroux de sa femme. La petite, quant à elle, fixa sa mère ne sachant pas trop si elle pouvait rire de la situation ou si cela paraîtrait déplacé. Rarement sa génitrice s’était retrouvée dans cet état proche de l’hystérie et il fallait avouer que cela amusait la pré adolescente. Pour contenir son fou rire, elle partit rejoindre son père sous le lit afin de récupérer l’animal en vadrouille qui terrorisait tant sa mère. Elle le chercha des yeux un petit moment avant qu’elle ne le repère ; deux petits billes jaunes brillant dans le noir, ce ne pouvait être que lui. En soupirant, elle tendit le bras afin de récupérer son fugitif qui se laissa docilement faire.
ZOE- « C’est bon, je l’ai. Franchement maman, je ne comprends pas pourquoi tu en fais tout un plat, Socks est très gentil et il ne ferait pas de mal à une mouche. » MEGARA- « Emporte cette chose avec toi, je ne veux plus jamais la revoir au risque que tu ne puisses plus jamais le revoir. Et puis, le nom que tu lui as donné est ridicule ! » ZOE- « Je pars aujourd’hui pour Poudlard, je l’emmènerais avec moi si il te dérange tant ! Et puis son nom lui va très bien ! »
Les deux femmes se défièrent du regard sous l’œil désabusé du seul homme de la famille. Celui-ci s’approcha et toussa afin d’attirer leur attention et de calmer le jeu.
JAMIE- « Puisque nous sommes tous bien réveillés, pourquoi ne pas nous habiller et prendre notre petit-déjeuner tous ensemble ? Après tout, c’est le dernier que nous prendrons avec notre fille chérie avant les prochaines vacances. Autant profiter un maximum des derniers instants, vous ne croyez pas ? Aaaah, ma petite fille devient une femme... » ZOE- « Papa ! Je viens seulement d’avoir onze ans et je vais à Poudlard pour la première fois, pas de quoi tomber dans le sentimentalisme. Et ne répète jamais ta dernière phrase, je déteste t’entendre dire ça ! »
Jamie continue sa tirade de sentiment mielleux, sachant que cela faisait enrager sa fille. Il s’approcha d’elle et la serra dans ses bras en riant, ignorant ses tentatives pour lui échapper. Même Megara se détendit quelque peu et s’autorisa à rire avec son mari tandis que Zoé enrageait et, profitant d’un moment d’inattention de son père, se rua vers la sortie.
* Traînant sa petite personne jusqu’à la locomotive rouge, Zoé bouscula plusieurs personnes au passage et se répandit plusieurs fois en excuses ; tantôt désolée, tantôt énervée. La perspective de se rendre enfin à Poudlard la mettait dans un état d’énervement proche de l’excitation et elle devenait intenable. Sautant de-ci et de-là, la sauterelle avait semée depuis un moment ses parents sur le quai. Elle regardait partout autour d’elle, cherchant à apercevoir quelqu’un de sa connaissance afin de se sentir moins seule durant le voyage qui la mènerait à l’école de magie, en vain. Découragée, elle se résigna à attendre ses parents devant un des multiples wagons. Il restait une demi-heure avant que le train ne quitte la gare et d’ici là, elle était certaine que ses parents la retrouverait. Et ça ne loupa pas. A peine l’avaient-ils aperçue que sa mère remercia le ciel de trouver sa fille bien vivante à attendre sur le quai plutôt que de la voir s’amuser sur les rails manquant ainsi de se faire écraser au démarrage. Exaspérée, l’apprentie sorcière leva les yeux aux ciels quand Megara la serra dans ses bras et que son père lui accorda un sourire contrit. Décidément, plus le temps passait et plus Zoéline trouvait sa mère trop excessive dans ses réactions. Quant à son père, il n’osait jamais la contredire ce qui amenait souvent leur fille à se poser des questions : quelle femme était vraiment sa mère pour que son père, sorcier de son état, la craigne elle, une simple cracmol ? Perdue dans ses réflexions, elle ne prêta guère plus aux paroles de ses parents qu'une oreille distraite et prit peur quand ils la secouèrent pour l’avertir que le train s’apprêtait à partir. Ni une, ni deux, elle les embrassa et monta dans le wagon juste derrière elle. Par la fenêtre du premier compartiment qu’elle avait trouvée, elle agita la main dans leur direction et dut leur promettre de leur écrire le plus souvent possible avant que le virage prit par le train ne coupe toutes connexions visuels. Poussant un gros soupir, elle se laissa tomber sur la banquette du compartiment, heurtant au passage la cage de Socks. Tiens ? Elle ne se rappelait pas l’avoir embarqué dans sa folle course… Bah, sûrement était-elle trop distraite pour son rendre compte. Soudainement, une vague de fatigue l’envahit et elle sombra dans le sommeil sans s’en rendre compte. Alors que d’autres personnes de son âge faisaient des rencontres qui les suivraient sûrement durant toute leur scolarité, Zoéline elle, dormait si profondément que même ses compagnons de compartiments eurent du mal à la réveillée quand ils arrivèrent à destination, Poudlard !
* PROFESSEUR- « LEDIGHTON ZOELINE ! »
Avec entrain, la concernée s’avança vers le tabouret et le chapeau miteux que désignait le professeur, luttant à chaque instant pour ne pas tomber devant tout le monde. Arrivée à bon port, elle s’autorisa un sourire de soulagement en s’asseyant avant que tout devienne noir. La fillette paniqua avant qu’un murmure se fasse entendre, immédiatement, elle se détendit : ce n’était que le chapeau miteux qui était trop grand pour elle et qui lui tombait devant les yeux.
CHOIXPEAU- « Hm… Ledighton hein ! Eh bien, eh bien, quelle maison estimes-tu être la tienne petite ? Et pourquoi ça ? » ZOE- « Vous procédez toujours comme ça ? Non parce que ça doit prendre un temps fou et les autres élèves doivent mourir de faim en attendant la fin de la répartition… » CHOIXPEAU- « Réponds à mes questions. J’accorde le temps nécessaire à chaque personne afin de faire le choix qui me semble le plus judicieux concernant son avenir. » ZOE- « Dans ce cas… Je crois que je vais plutôt répondre à l’inverse de votre première question, car je n’ai vraiment aucune idée de la maison qui m’irais le mieux. Déjà, je pense que Gryffondor est à exclure. Je ne fais pas preuve de la qualité principale des lions, à savoir le courage. Chez moi, ce serait plutôt d’insouciance dont il s’agit et je suis peureuse comme pas deux. Vous pourriez simplement éteindre la lumière alors que je sais que vous êtes là et me faire « Bouh » que je hurlerai de panique. Je fais preuve d’une maladresse maladive et mes parents pensent que j’ai un don pour tout détruire autour de moi, un point sur lequel je suis d’accord avec eux. Je suis aussi du genre à être rancunière et calculatrice quand on me fait une crasse, mais je crois que je sais quand il faut s’arrêter avant que tout dégénère. Certains appelle ça l’instinct de survie et il doit être extrêmement développé chez moi, car je fuis dès que ça deviens trop mouvementé. Mais je ne supporte pas qu'on s'en prenne aux plus faibles que soit. Pour ça, j'ai du culot frisant l'insolence envers les personnes qui agissent comme tel. Je ne suis franchement pas très futée mais il m’arrive de sortir des trucs intelligents par moment, ce qui m’étonne moi-même. Je ne suis pas sociable, mais j’aime avoir deux ou trois amis sur qui compter, les démonstrations d’affections en public, très peu pour moi, je préfère ça dans l’intimité. Voilà, je pense avoir donnée des arguments et des contre arguments pour chaque maison, à vous de choisir. Personnellement, je crois que reléguée au poste d’aide au concierge cracmol qui ne sait pas utiliser la magie, je serai parfaite. » CHOIXPEAU- « Tu fais preuve d’humour aussi. Et bien, mon choix a été fait, tu iras à… »
Heureusement pour la sorcière que le Choixpeau se trouvait sur sa tête, sinon elle n’aurait jamais sut qu’elle maison lui avait été attribuée. Le tonnerre d’applaudissement provenant de la table de sa nouvelle maison était tellement assourdissant qu’elle se demandait si ça lui était réellement destiné.
part one
Dernière édition par Zoéline C. Ledighton le Mar 4 Nov - 1:16, édité 1 fois | |
| | | Zoéline C. Ledighton
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| Sujet: Story of Zoéline Ven 31 Oct - 1:48 | |
| premier amour- Accoudée sur le bras d’un des fauteuils de la salle commune de sa maison, une jeune fille fixait le paysage que lui offrait l’un des multiples tableaux ornant les murs de ses grands yeux bleus délavés. Ses soupirs répétés faisaient vaciller les mèches tombantes de son épaisse chevelure ondulée et brune, aux allures constamment emmêlée malgré les bons soins dont la gratifiait sa propriétaire et l’ardeur qu’elle y mettait afin de la disciplinée. Le menton dans les mains, Zoéline balançait puérilement ses pieds dans le vide, brassant ainsi inutilement l’air. D’ailleurs beaucoup lui avait conseillé, d’aller prendre l’air je veux dire mais rien à faire, elle restait là à regarder tantôt les tableaux, tantôt le plafond sans adresser le moindre signe à personne depuis maintenant trois jours. Oh bien sûr, elle sortait de temps à autre de la salle commune pour les cours et pour manger, mais jamais elle ne restait bien longtemps, préférant la solitude de ses réflexions. Son teint bronzé qu’elle avait acquis lors de ses dernières grandes vacances commençait à s’estomper pour laisser place à son habituelle peau au teint hâlé. Mais elle ne le regretterait pas quand elle s’en apercevrait – si elle s’en apercevait ! – la jeune sorcière n’ayant pour le moment pas la tête aux choses si futiles, non. Il lui était arrivé une chose dont elle ne comprenait pas la cause : l’homme de sa vie, son prince charmant, son Roméo – qui au final ne l’était pas tant que ça – et tout le tintouin, l’avait quittée pour une autre. Après avoir pleuré pendant une bonne heure, si ce n’est plus, sur l’épaule de la pauvre Sarah, la Ledighton s’était remise en question, essayant de trouver une raison à tout ça. Mais à treize ans, les peines de cœurs disparaissent aussi vite qu’elles sont apparues et les trois jours de réflexions passés, elle affichait à nouveau une mine enjouée qui lui était propre et sortait volontiers avec ses amis à nouveau. Envolé le garçon et les tristesses causées par cette amourette, c’était une Zoéline au sommet de sa forme qui apparaissait devant les autres, faisant à nouveau tout exploser en cours de potions malgré elle, chérissant les plantes de la serre de botanique et qui aimait la compagnie réconfortante de ses plus proches amis : Sarah, Morgan & Edward.
part two
Dernière édition par Zoéline C. Ledighton le Mar 4 Nov - 1:20, édité 2 fois | |
| | | Zoéline C. Ledighton
Nombre de messages : 11 Humeur : Fluette Date d'inscription : 29/10/2008
| Sujet: The End Lun 3 Nov - 23:08 | |
| the.end- VERITASERUM Prénom; Maéva Âge; Quinze ans Comment avez vous connu le forum ?; Par Sarah B. x3 Comment trouvez vous le design du forum ?; Superbement beau (L' Comment trouvez vous l'intrigue du forum ?; Originale, j'adhère totalement. Notez votre présence sur 7; 4/7 Exemple de RP;
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with maéna « A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons. » Jeudi deux octobre deux-mille huit. Dix-huit heures et vingt-six minutes. La bibliothèque. Un mois. C'est le temps qui s'est écoulé, lentement mais sûrement, depuis la rentrée à Poudlard. La septième année est réputée pour être semblable à un songe. Éphémère. Elle passe si vite, disait-on, que les jeunes gens ont rarement l'occasion de penser à autre chose que leurs ASPIC qui décideront de leur orientation future. Baliverne. Cette année-ci est des plus étrange par le fait que le corps enseignant agisse sournoisement, au pied et au nez des élèves, les préparant à une chose qu'aucun d'eux n'imagine. La théorie des matières est pratiquement évincée, passant directement par la case « pratique ». Même les examens semblent quelque peu passés au second plan, les professeurs entraînant assidument les élèves de tout âge au combat. Cependant, une grande majorité profite de cette situation pour négliger leurs études et s'amuser de diverses manières pas toujours très censées, il faut en convenir. Et même si Emery ne fait pas partie de cette majorité, il est normalement arrivé qu'elle se détende un peu et rejoigne parfois ce groupement le temps de s'évader des obligations quotidiennes qui la consumait à petit feu. Comme toute personne normalement constituée direz-vous. Mais Emery est tout, sauf normale. Moralement, elle est fatiguée. Usée. N'arrivant à prendre parti d'aucunes des raisons en perpétuel conflit dans son être, elle s'abandonne tantôt à l'une, tantôt à l'autre, créant ainsi deux personnalités distinctes et totalement opposées. Et plus le temps passe, plus c'est difficile pour elle de choisir. Alors elle continue de se laisser dominer tour à tour par chacune d'elles. Les points positifs dans tout ça? Elle a toute sa raison malgré ses sautes d'humeurs fréquentes qui en aurait rendu plus d'un fou et elle parvient doucement à réduire ces dernières, se laissant submergée uniquement lors d'un évènement qui amènerait l'une ou l'autre à se manifester. Aujourd'hui, elle est de bonne humeur point. Quant à savoir si c'est un ange ou un démon à ce moment précis, allez savoir. Plongez dans ses parchemins, grimoires et autres plumes pleines d'encres, elle ne songe à rien d'autre que ce à quoi elle lit ou écrit. Les études sont la seule discipline où la jeune sorcière est en paix avec elle-même. C'est sûrement pour ce côté studieuse que la balance mentale du Choixpeau a penchée pour Serdaigle et non Serpentard. D'ailleurs, c'est peut-être pour ça que la personne la plus importante pour Emery est un Serpentard. Car au fond, elle lui ressemble puisqu'une des options pour elle était qu'ils aient maison commune. Enfin, même sans porter les mêmes couleurs ils se ressemblent...
Accoudée sur une des rares tables qui tenait toujours sur ses quatre pieds malgré le manque d'entretien, le bout de sa plume chatouillant son nez, Emery se redressa légèrement sur son siège qui grinça sur le sol poussiéreux et souleva un nuage de poussière en balançant négligemment ses pieds dans le vide. Si elle se trouvait ici en ce moment de la journée, c'était parce que l'endroit était calme, les autres se prélassant en dehors du château. Pour un mois d'octobre, il faisait encore bon et beaucoup préférait les rayons du soleil aux rayons de la bibliothèque ravagée. Au travers de la vitre crasseuse, la jeune femme put entrapercevoir un groupe se diriger vers le parc avec enthousiasme et sans s'en rendre compte, son regard suivit la direction oblique d'un rayon perdu dans la grande salle. A chaque mouvement, même le plus anodin, un amas de poussière s'élevait vers le rayon avant de retomber mollement au sol. Plus loin, le rayon éclaira de sa faible lueur un cimetière de chaises et de tables, où même quelques livres se trouvaient; éparpillés et déchirés. Un soupir s'échappa des lèvres d'Emery devant ce spectacle. Plus personne ne prenait la peine de s'occuper de cet endroit et c'était bien dommage. Toujours, pour la sorcière seule dans la salle, la bibliothèque avait représentée un moyen de faire des découvertes, de s'échapper, de s'aider, de faire des rencontres et autres... La voir dans cet état lui faisait toujours un léger pincement au cœur, si bien que de temps à autres elle tentait un sortilège, celui de « Récurvite » sans grand succès vue la saleté et la poussière accumulée. Puis un autre « Réparo », qu'elle avait utiliser pour la table et la chaise qu'elle occupait en ce moment et sur certains livres qui l'intéressaient. Lassée, elle reprit ses esprits, empêchant une fois de plus à son subconscient de vagabonder à son aise et d'un coup de baguette, retint l'encrier qui menaçait de tomber suite à un geste trop brusque d'Emery. Avant qu'elle ne se perde dans les méandres de son esprit épars, elle était venue ici étudier au calme, comme en témoignait ses affaires posées un peu partout, recouvrant totalement la table et sa plume qui s'était remise à gratter le parchemin pour le remplir de mots et de phrases traitant l'histoire de la magie. Grisant. Le bruit de la plume grattant le parchemin était tout simplement grisant pour Emery en cet instant précis et le sujet traité lui plaisait. « Que pensez-vous de la Révolte des Gobelins en 1990? » Quarante-cinq centimètres de parchemin était demandé par le professeur et il ne manquait plus qu'à la jeune femme la conclusion pour avoir tout à fait finit. Elle leva un instant les yeux au plafond pour réfléchir, se balançant sur sa chaise avant d'écrire.
Une fois le point finale écrit, Emery posa lentement sa plume sur le côté, rangea précautionneusement son devoir dans son sac qui pendait à sa chaise avec le reste de ses affaires traînant de long en large sur la table. Seuls une plume, un morceau de parchemin vierge ainsi qu'un encrier restèrent sur la table. Il ne fallait pas qu'elle oublie de répondre à Jackson. Pensivement, elle amena sa plume vers son menton, pensant à ce qu'elle allait lui dire puis se mit à écrire élégamment sur le parchemin des réponses à ses questions, et des observations, un large sourire aux lèvres. Elle aimait dialoguer avec lui via lettres et jamais elle n'avait pensée solliciter autant Picolo, son hibou qui rechignait quelque fois quant sa maîtresse lui indiquait que le courrier était destiné à son ami. Cela amusait beaucoup Emery et généralement, une caresse accompagnée d'une friandise faisait s'envoler toutes réticences chez le hibou. Facilement manipulable.
La lettre terminée et ranger dans le sac, Emery se leva prestement et se dirigea vers les rayons qui accueillaient divers livres. Son doigt parcourant les reliures, elle savait déjà ce qu'elle cherchait. Quelques années auparavant, elle s'était rendu compte que la bibliothèque possédait en son antre des classiques de la littérature moldu. Quel enchantement! Elle adorait lire ces œuvres quant elle était petite chez sa gentille voisine, une vieille dame seule dont la maison ressemblait à un coffre au trésor en vue des perles que la petite fille découvrait à chacune de ses visites. Ce doit être d'ailleurs à cette période de sa vie qu'Emery développa son goût prononcé pour la lecture et elle se félicitait encore maintenant d'être allée chez cette dame. Elle aimait discuter de ces ouvrages avec lui, Pâris. Il avait toujours des remarques intéressantes sur tel ou tel livre, des critiques passionnantes et elle aimait débattre quand elle n'était pas d'accord avec lui. Avec enthousiasme, elle saisit le livre qu'elle cherchait quand enfin elle le trouva. Orgueil & Préjugés de Jane Austen. Calmement, elle tourna les pages et commença la lecture tout en retournant s'asseoir. crédits&co- http:// citation-titre; Démonax http:// citation; Charles Baudelaire E. icon Code du Règlement;
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VU par RCS
Dernière édition par Zoéline C. Ledighton le Mar 4 Nov - 1:17, édité 1 fois | |
| | | Zoéline C. Ledighton
Nombre de messages : 11 Humeur : Fluette Date d'inscription : 29/10/2008
| Sujet: Fiche Terminée Lun 3 Nov - 23:31 | |
| Présentation - je pense - terminée.
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| | | Rylan C. Slytherin
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 23/08/2008
| Sujet: Re: zoéline cendres ledighton Mer 5 Nov - 22:40 | |
| C'est parfait. Rien à redire. Je dirais poufsouffle. Bon jeu !
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| Sujet: Re: zoéline cendres ledighton | |
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| | | | zoéline cendres ledighton | |
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