Vipera Evanesca
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 andy llewers ; conventionally the same. (uc)

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Andrea L. Llewers

Andrea L. Llewers


Nombre de messages : 3
Date d'inscription : 28/09/2008

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MessageSujet: andy llewers ; conventionally the same. (uc)   andy llewers ; conventionally the same.   (uc) Icon_minitimeDim 26 Oct - 14:22


(hold on,
little tomato.)



    zéro zéro un :: état civil.

    • Nom : Llewers. Avec deux L.
    • Prénoms : Andrea, Lou. Sans commentaire.
    • Surnom : Qu'est-ce que t'en penses ? Oh, chouuu, Andyyy...
    • Âge : Dix-sept.
    • Date et Lieu de Naissance : 31.10.91 à Liverpool, Angleterre.
    • Année Scolaire : Septième.
    • Sexe : La blague.
    • Orientation Sexuelle : Tu le fais exprès, non ?
    • Baguette : Ah, on se rabat sur les substituts sexuels ? Bois de lierre, vingt-quatre centimètres tout ronds, m'sieur, avec un nerf de coeur de dragon.
    • Sang : Pur.



    zéro zéro je-sais-pas-je-fais-jamais-rien-dans-l'ordre :: hors jeu.

    • Prénom : Julie.
    • Âge : Quinze. Mais quasi seize, alors on fait comme si, hm ?
    • Comment avez vous connu le forum ? : Ah ah (rire pseudo-énigmatique).
    • Comment trouvez vous le design du forum ? Graou <3.
    • Comment trouvez vous l'intrigue du forum ? Renversante. Surtout depuis que j'me suis occupée des fautes. (Couuuurt)
    • Présence : 3 à 7/7.
    • Exemple de RP :
      Spoiler:

    • Code :
      Spoiler:


Dernière édition par Andrea L. Llewers le Mer 5 Nov - 1:35, édité 1 fois
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Andrea L. Llewers

Andrea L. Llewers


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Date d'inscription : 28/09/2008

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MessageSujet: Re: andy llewers ; conventionally the same. (uc)   andy llewers ; conventionally the same.   (uc) Icon_minitimeVen 31 Oct - 15:43


    zéro zéro le-plus-important :: roleplay.


      chapitre un - gourmandise.

          premier mars 1995 ou 1996 ; quinze heures quarante-cinq.
    Quand le coeur de Katie Llewers se décida à lâcher définitivement, à l'aube d'un mois de mars étonnamment ensoleillé, toute la famille semblait s'être donné rendez-vous pour assister au spectacle. Dans la petite chambre s'entassaient deux ou trois douzaines de sorciers endimanchés - normal, on était dimanche -, chacun apportant sa petite contribution pour atténuer le chagrin du décès. Margaret Cooper-Maggleton, de la branche des cousins Llewers-Cooper, avait préparé (ou fait préparer par ses esclaves d'elfes) une impressionnante pièce montée bleue au long de laquelle serpentait un étrange coulis bordeaux ; Gloria Llewers, belle-soeur de la défunte, avait les bras chargés de lis blancs ; Dwight Llewers-Hurley, quant à lui, s'était occupé d'entasser sur sa moto volante (alors garée dans le parc) de pleines caisses de Whisky Pur Feu, dont on ne savait pas bien si elles avaient pour vocation de faire fêter l'événement ou alors de permettre d'oublier ce jour funeste.
    Katie rendit l'âme vers seize heures. Tandis que tous retenaient leur propre respiration, histoire de ne pas rater le dernier souffle de la mourante, un vol de corbeaux frôla la fenêtre entrouverte avec force battements d'ailes et croassements, empêchant ainsi l'assistance d'entendre l'ultime expiration qu'ils attendaient tant. Quelques jurons furent étouffés, quelques rapides signes de croix furent esquissés, et Gordon Llewers, s'avançant pour prendre le pouls de Katie, constata qu'il était bel et bien veuf. Il balaya l'assemblée de son regard bleu délavé, avant de hocher la tête doucement. Ce mouvement agit comme un signal sur l'ensemble des Llewers-Cooper, des Llewers-Hurley, de la branche souche des Llewers et des glandus sans lien très proche avec le reste de la famille : ils se précipitèrent tous vers la porte, à petits pas rapides, yeux roulants dans leurs orbites, car il fallait quitter rapidement cette chambre sinistre, s'éloigner bien proprement, et puis aller se réconforter devant une bonne tasse de flotte bouillante, étant donné que Katie avait eu la délicatesse de claquer à l'heure du thé.
    Et surtout, surtout, ne pas oublier les petits gâteaux.


          premier mars 1995 ou 1996 ; dix-huit heures trente-deux.
    « Joannie, les gâteaux... »
    « Encore ? Tu te fiches de moi ? Il est sept heures du soir. »
    « Dix-huit heures trente-deux, maman ! »
    « Mêle-toi de tes affaires ! On t'a demandé ton avis ? »
    « Bon, nous on va pas tarder à rentrer... »
    « Bonne idée. Merci pour le thé, hein, Gordon... Et pour... l'hospitalité... »
    « Toutes nos condoléances, au fait. Va falloir s'accrocher, mon gars ! »
    « Oh Dwight, pour l'amour de Dieu ! Ne sois pas aussi familier. »
    « Calme-toi, chérie, si seulement tu m'avais laissé sortir mon whisky, je serais trop bourré pour t'entendre me hurler après avec ton haleine de phoque. »
    « DWIGHT ! »

    Et blablabla. Franchement. Et ces crétins boudinés dans leurs fringues de pingouins étaient censés servir d'exemple à une gamine de cinq (ou six) ans ? En bout de table, Andrea les regardait bavasser, les regardait plus qu'elle ne les écoutait, assise au sommet d'une pile de coussins, histoire d'avoir le menton à la hauteur de l'assiette. (Ouais, les chaises étaient très basses, et ça emmerdait bien tout le monde.) Depuis plus de deux heures et demie, sa mère était morte. Depuis plus de deux heures et demie, le régiment des Llewers venu assister au spectacle s'empiffrait, se chamaillait et mentait sans discontinuer. Andrea les avait comptés, déjà, dans la petite chambre (histoire de ne pas se concentrer sur la graisse insoutenable de Katie, sur les immondes bourrelets de Katie, qui la faisaient dépasser du lit de toutes part, comme une vieille méduse dépasse de son banc de sable). Trente-deux. Ils étaient trente-deux. Plus son père, et elle. Non que cela eût une quelconque importance.
    Andy entendit qu'on prononçait son nom. Par réflexe, elle sursauta doucement et se redressa sur sa pile moelleuse mais vacillante.


    « Pardon ? » fit-elle simplement, d'une voix calme.

    Aussitôt, une bonne vingtaine de visages gras, ou farineux, ou verdâtres, ou blancs comme des linges, lui firent face.


    « Ne t'inquiète pas, ma chérie. Reprends un peu de gâteau. »
    « Margaret ! Vieille folle ! Cesse de nous gonfler avec ce truc immonde, et, pour l'amour de Dieu, n'en donne pas aux gosses ! »
    « Andy, mon chou, nous te prenions seulement en exemple, histoire d'éduquer notre saleté de fils. C'est rare, de nos jours, de rencontrer une petite fille aussi bien élevée », marmonna Blanche Cooper avec un regard mauvais pour la saleté de fils.

    Alors, Andy sourit de toutes ses petites dents, et, tant bien que mal, se mit debout sur les monceaux de coussins qui la soutenaient. Elle adressa un signe à l'un de ses cousins du même âge, qui, hochant la tête, agit comme elle.


    « Je ne suis pas une petite fille. Je suis un petit garçon ! »
    « Ouais, on a échangé nos vêtements sous la table », crut bon d'ajouter le cousin-complice.

    Les deux hérétiques partirent d'un rire qui se voulait tonitruant.
    Cette fois, ils furent trente-deux, les visages gras, ou farineux, ou verdâtres, ou blancs comme des linges, qui leur faisaient face. Trente-deux sales tronches, offusquées pour la plupart.
    La débandade qui s'ensuivit fut épique. Elizabeth McGuire (une vague cousine de la soeur du chien de la grand-mère de la tante de son neveu, ou l'inverse) plaqua une main boudinée sur son énorme bouche de commère, tandis que Joannie Williams cachait les yeux innocents de son fils adolescent - et qui en avait certainement vu d'autres. Après une hésitation, Dwight Llewers-Hurley éclata de son rire gras et chargé d'alcool (il fut bien le seul), et flanqua une bourrade dans le dos de son néo-veuf de cousin qui, lui, n'avait pas l'air de trouver la situation franchement désopilante. En cinq minutes, tout le monde s'était tiré vite fait bien fait, certains prenant tout de même la peine de présenter quelques sincères condoléances ; mais la plus sincère fut sans doute la fameuse Joannie Williams, qui, avant de s'échapper, glissa un élégant j'espère que cette démone aura la décence de crever aussi vite que son poulpe de mère.

    Vous cherchez toujours comment vous débarrasser d'une famille collante, coincée et bien-pensante ? Faites de votre gamine un monstre transexuel.
    Succès assuré.
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