Vipera Evanesca
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 Azilis Everglotte

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Azilis Everglotte

Azilis Everglotte


Nombre de messages : 3
Date d'inscription : 24/10/2008

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MessageSujet: Azilis Everglotte   Azilis Everglotte Icon_minitimeMer 29 Oct - 1:26


Découvrez Yann Tiersen!



Découvrez Yann Tiersen!


    I. ÉTAT CIVIL.



  • Nom :Everglotte
  • Prénom(s) :Azilis Yara Alexandra
  • Surnom(s) :’Lis, Lili ou Az
  • Âge :15 ans
  • Date et Lieu de Naissance : 15 mars 1993
  • Année Scolaire : Cinquième année
  • Sexe : Féminin
  • Orientation Sexuelle : hétérosexuel
  • Baguette : 23 centimètres, bois de rose, poudre de lune, et aile d'hipogryphe. Elle est souple et précise.
  • Sang : Sang mêlé, mère moldu et père sorcier.




VII. VERITASERUM.

  • Prénom :Mélanie
  • Âge :18 ans
  • Comment avez vous connu le forum ? Damien
  • Comment trouvez vous le design du forum ?sobre et magnifique et c’est de gwen en plus ! bravo, c’est magnifique ! ^^
  • Comment trouvez vous l'intrigue du forum ? intéressante et ça change.
  • Notez votre présence sur 7 : 4/7
  • Exemple de RP :
    Spoiler:
  • Code du Règlement :
    Spoiler:


Dernière édition par Azilis Everglotte le Jeu 30 Oct - 12:40, édité 5 fois
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Azilis Everglotte

Azilis Everglotte


Nombre de messages : 3
Date d'inscription : 24/10/2008

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MessageSujet: Re: Azilis Everglotte   Azilis Everglotte Icon_minitimeMer 29 Oct - 1:27

II. FICHE RP.

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Première Partie :

Une fillette d’environ 8 ans aux grands yeux bleu gris et aux longs cheveux bruns se baladait en courant dans le jardin d’une petite maison à la française. Azilis vêtue d’une robe bleu marine, pris de l’élan s’accrocha à la plus basse des branches du grand chêne dans le fond du jardin, s’y hissa et alla s’y cacher. La douceur du mois d’avril était tout à fait propice à ces jeux d’enfant.
- ‘Lis ! reviens tu es plus drôle ! s’écriait un petit garçon de 11 ans en bas de l’arbre.
C’était Gaël, le fils de Nolan Pernelle le nouveau mari de la maman d’Azilis. Alexandra, anciennement Everglotte et aujourd’hui Pernelle. Alexandra était une jeune moldue française pleine de fougue et qui avait besoin d’aventure et elle s’était éprise d’un jeune sorcier prometteur, de cette union passionnelle naquis Azilis, malheureusement l’inconstance d’Alexandra lassa vite son mari et ils en vinrent au divorce. Azilis quitta son papa et alla vivre avec sa mère en France. Elle avait 5 ans à l’époque. La mère d’azilis refit assez rapidement sa vie avec un moldu français, monsieur Pernelle qui avait déjà un fils d’une première, union, ah joie des familles recomposées ! Azilis et Gaël avaient donc grandit pour une grande parti ensemble et se considérait comme frère et sœur. Sentiment qui ne fit que s’accentuer à la naissance des jumelles Clara et Shanna. Bien sûr Azilis continuait à passer beaucoup de temps avec son père, bien que ce dernier vive en Angleterre, il ne négligeait en rien sa fille dont il était fou.
- Miss Everglotte si tu n’es pas descendu d’ici, trente seconde, je préfère t’avertir tout de suite, que ton père sera mis au courant de ton comportement excité de ces dernier temps ! et si ta nouvelle robe est abîmée, j’aime autant te dire que tu bien raison de vouloir rester en haut mais qu’il va bien falloir que tu finisses par descendre un jour !
S’énervait Alexandra avec dans ses bras une jolie fillette blonde de deux ans, aux même yeux bleu gris que ceux de sa maman et d’Azilis. La fillette finit par s’exécutait et descendit en ronchonnant. Ce qui la mettait dans tout ses états c’était la perspective de passer ses vacances de printemps chez son père en Angleterre, elle allait pouvoir voir si son accent anglais c’était amélioré, entré à nouveau dans le monde des sorciers dont elle faisait parti et surtout voir son père. Ainsi que ses amis, car elle avait quelques amis là bas, comme Gabriel, le fils d’un ami à son père, avec qui elle s’amusait autant à chaque vacances.

Deuxième partie :


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Bilan psychologique de mademoiselle Azilis Everglotte.
Cela fait maintenant un an que je suis la petite Azilis âgée de 9 ans, à ce jour.
Je pense sincèrement que son état peut permettre un arrête définitif du traitement.
On me l’a confié le 19 décembre 2002, à la suite du décès de sa mère, suite à l’attaque d’un loup garou. Les parents de la petite Azilis étant divorcé, elle a retrouvé son père alors que ses deux demi sœurs sont restées avec leur père. La fillette semble s’être parfaitement remis du choc, elle a d’ailleurs retrouvé la parole dans la semaine qui a suivit le choc. Ses insomnies ont cessé et ses cauchemars sont presque inexistants à ce jour.
Azilis semble avoir une vie équilibré et ne manquer de rien, elle voit ses sœurs et son beau-père régulièrement et les adultes qui l’entourent on su gérer la situation avec intelligence. La fillette a les préoccupations d’une jeune fille de dix ans et je peux sans craindre de quelconques effets secondaires, stopper ma thérapie dès aujourd’hui, 29 novembre 2003.
Très cordialement le professeur Elburd, pédopsychiatre pour sorcier.


Troisième Partie :


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La séparation, le 22 décembre 2002,
Azilis était prête du haut de ses 8 ans, elle devait s’élancer vers une nouvelle vie, son père devait venir la chercher d’une minute à l’autre. Elle avait perdue sa maman, comme beaucoup d’autre avant elle, ça fait mal, et déjà le fait d’y repenser fait rouler une larme sur la joue de la fillette, qui refuse d’ouvrir la bouche. Son père va venir la chercher, alors que Gaël, Clara et Shanna, vont continuer à vivre avec leur père Nolan. Si la petite fille n’attend qu’une chose, pouvoir sauter dans les bras de son papa, quitter sa famille lui fait peur. Ils vont lui manquer. Comme sa maman. Mais la fillette de 8 ans a déjà du mal à se rendre compte qu’elle ne verra plus sa mère et a trop de mal encore à imaginer sa vie future, la seule chose qui compte à cet instant c’est les bras de son papa. Clara et Shanna ne se rendent pas compte de ce qui se passe normal pour des petites filles de deux ans, Gaël pleure, il ne veut pas qu'elle parte. Mais ils sont trop petits pour se dire ce qu’ils ressentent, un dernier câlin de Nolan, puis voilà enfin, la cheminé ! C’est lui, papa ! Enfin te voilà.

_______________________________

Cher journal,
Papa n’arrête pas de me parler de Poudlard, l’école de sorcellerie, tu sais je t’en avais déjà parlé, maman m’avait dit qu’il faudrait que je choisisse comment poursuivre mes études, déjà à l’époque, je n’avais eut aucune hésitation. Je pense toujours fort à maman, mais ça ne me fait plus pleurer. Je passe de bons moments avec papa, on a redécoré ma chambre et j’ai un mur avec des photos de tout le monde, papa m’a même donné une photo de sorcier de maman quand ils étaient amoureux, la photo est magique, elle bouge ! Si tu savais à quel point j’aime le monde auquel je vais appartenir. Tout me parait extraordinaire ! Je vais aller faire mes courses pour la rentrée scolaire, j’ai reçu une liste par hiboux, et papa m’a promis de m’en offrir un. Dès que je les aurais je vais commencer à les lire, c’est si intéressant ! J’ai déjà entamé pas mal des livres de la bibliothèque de papa, mais c’est compliqué, je n’en comprends pas la plupart. Je sais que je ne serais pas la meilleure des sorcières, mais j’ai hâte que ça commence, en plus il y aura Gabriel !

Quatrième Partie :


Azilis Everglotte Icons1226ad7

Rentrée 2003,
Tout comme la plupart des enfants Azilis tente de rassurer son père avant de partir pour Poudlard à bord du Poudlard Express.
- Ne t’inquiète pas papa tout ira bien, au pire je t’envoie Dina de toute urgence pour te demander de venir me chercher, ajouta la fillette en souriant.
- Moque-toi, ajouta monsieur Everglotte avant de prendre sa fille dans ses bras.
Une fois seul, Azilis chercha du regard un visage familier, celui de Gabriel. Le petit garçon avec qui elle avait si souvent joué. Le seul sorcier de son âge qu’elle connaissait vraiment. Les jeux d’enfant innocent, les parties de cache-cache, les histoires folles qu’ils pouvaient s’inventer pour s’évader. Elle le connait depuis longtemps pour ne pas dire depuis toujours. Ils ont partagé tous leurs secrets. Il était là quand elle a appris à faire ses lacets, quand elle a pour la première fois réussit à faire un gâteau sans le faire cramer, ou quand elle s’est cassé la jambe en tombant de vélo, ou encore quand elle a échangé son premier baiser avec un garçon. Oui, il faut l’avouer enfant elle était folle amoureuse de lui. Amoureuse comme on l’est à 7 ou 8 ans. L’amour simple qui ne se pose pas de question, mais tellement plus sincère. Pourtant à aujourd’hui 10 ans, Azilis ne peut pas dire que ses sentiments ont disparut il restera son amour d’enfance, mais disons qu’elle a compris que ça lui passerait avec le temps, en grandissant, en perdant cette innocence qui l’habitait pourtant autant.

_______________________________

Ma Lilie,
J’ai reçu bien reçu ta lettre, ça m’a fait plaisir d’avoir de tes nouvelles. Et ta rentrée en troisième année ça s’est bien passé ? Pendant les vacances papa m’a dit que je pourrais venir te voir la première semaine des vacances en on repartira ensemble en France, faudra que tu m’apprennes à parler anglais, c’est pas avec les cours de madame Guimètre que je vais réussir à parler avec des gens. Au fait m’oublie pas et si quelqu’un t’embête sorcier ou pas qu’il fasse attention à moi, je suis une terreur, tu me connais, sinon tu as bien entendu d’énormes bisous des filles et de Nolan, je pense fort à toi, j’ai hâte de te voir, je t’aime.


Ton frère


_______________________________

Comme à son habitude, rêveuse, elle s’était posé à la bibliothèque pour travailler et après quelques heures sont esprit s’était égaré, dessinant quelques graffitis colorés sur le haut de son parchemin. Cela ne lui ressemblait pas du tout. En temps normal Azilis était toujours concentrée sur ce qu’elle lisait. Son menton posé dans sa main, ses jolis yeux bleu gris envoutant dans le vide, la demoiselle pensait à l’année qui venait de s’écouler, une de plus, les vacances d’été avec le plaisir de revoir enfin son frère et ses sœurs, Nolan et bien sûr son père. Et puis l’année prochaine, qu’allait-il se passer, année des premiers examens, les BUSES, serait-elle à la hauteur ? Elle l’ignorait complètement et cela lui faisait un peu peur, il fallait l’avouer. Tant de questions se bousculaient dans la tête d’une jeune fille que quatorze ans. La curiosité et la crainte du futur. Elle n’était bien sûr pas la seule à se poser toute ses questions et à cet instant précis, Azilis se trouvait bien banale et peu intéressante. Elle réussit tout de même à se tirer de ses songes, par la fenêtre elle pouvait voir que la plupart des élèves flânée dehors, avec le temps qu’il faisait il n’y avait bien qu’elle pour s’enfermer à la bibliothèque et travailler. En plus des amis lui avaient proposé de venir la rejoindre. Azilis était loin d’être insociable mais elle aimait se retrouver seule avec un livre, ou à rêvassé allongé sur son lit, ça lui permettait de se retrouver, de penser. Mais elle avait eut sa dose de solitude pour le moment elle ramassa rapidement ses livres et rouleaux de parchemin. Tant pis s’il y avait le garçon de la dernière fois avec eux Azilis ne pourrait pas l’éviter éternellement. Et puis de toute manière ce n’était pas lui qui l’avait embrassé c’était elle qui s’était laisser faire. Oui, je n’aurais pas pu vous le cacher plus longtemps, Azilis se sent toujours mal à l’aise avec le sexe opposé, surprenant quand on s’est qu’elle a été élevé en grande parti par son tuteur, son père, avec un grand frère, et qu’on sait qu’elle n’a presque toujours eut que des amis masculins, mais disons que la perspective qu’un garçon puisse devenir autre chose qu’un ami, la terrifie à ce jour.

Cinquième Partie :


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Ce que les autres pensent d’Azilis :
Son frère Gaël Pernelle : c’est une fille adorable, mais beaucoup trop naïve et idéaliste. J’ai l’impression qu’elle vit dans un monde où elle pense que le fait de travailler dur et d’être gentille fera automatiquement d’elle quelqu’un de respecté et d’aimé qui arrivera à ce qu’il veut, malheureusement ce n’est pas comme ça que ça marche et j’ai peur qu’elle l’apprenne à ses dépends, il paraît que je la protège un peu trop, mais je n’y peux rien, quand je m’imagine son joli petit visage d’ange potentiellement en danger j’ai envie de taper tout ce qui bouge autour d’elle. Je vais vous révéler un de ses secrets, il lui arrive souvent de s'eclypser le soir et de se poser dans un arbre pour réfléchir, ça peut paraitre idiot, mais visiblement, c'est là qu'elle se sent le mieux quand elle veut être tranquille.

Ses petites sœurs, Clara et Shanna : c’est une gentille grande sœur, elle ne fait pas de bêtises et a toujours quelque chose de drôle à raconter, ça ne la dérange pas de venir nous coucher et de nous raconter une histoire avant de dormir. Et quand on a peur ou qu’on est triste on peut toujours aller lui parler.

Nolan, son beau-père : c’est une chouette gamine, un peu trop sensible je pense qui a du mal à gérer ses émotions, la disparition de sa mère l’a profondément marquer comme il aurait été le cas pour n’importe quel enfant, mais elle a une façon très étrange d’ensevelir ce qu’elle ressent pour nous montrer un visage souriant mais qui n’arrive pas à trahir les gens qui la connaissent depuis si longtemps. Elle dégage une telle innocence.

Arthur Everglotte, son père : je la sens si fragile, pourtant impossible de faire quoique se soit, elle s’entour de barrière et n’aime pas qu’on cherche à les soulever. Pourtant on peut toujours compter sur elle. C’est une jeune fille joyeuse, pleine de vie et d’espoir, j’ai peur de la voir déçu, elle se construit une image forte pour cacher ses failles. Mais moi je sais qu’elle n’a rien d’une jeune femme sérieuse, c’est ma petite fille qui rêve un peu trop parfois. Mais j’ai confiance en elle, elle fera de grande chose, elle a de la volonté. Chose étrange malgré son âge, on ne se dispute que très rarement. je ne crains qu'une seule chose au-delà des paroles, se sont ses regards, d'une expressivités terrifiantes, elle peut facilement vous désarmer avec l'un de ses regards, qui peuvent cracher toute la haine du monde aussi bien que tout son amour.

Une amie de sa maison : ce n’est pas le genre de personne qui va avec aisance vers les autres heureusement c’est mon cas, on s’est tout de suite bien entendu, et une fois que la glace est brisé c’est un amour, avec laquelle on peut toujours s’amuser, enfin à part si elle a un devoir un faire, car elle fait toujours passer les cours avant le reste, elle est très studieuse mais je ne vous laisserai pas dire qu’elle est barbante au contraire, elle aime les défis, ça l’aide à se dépasser, elle est très joueuse.

Un ami : je l’adore car avec elle, on peut parler de tous, c’est une fille mais elle n’est pas comme les autres. Je peux même parler de fille avec elle, elle est toujours de bons conseils. Et elle m’aide pour mes cours d’histoire de la magie.

Anonymus : elle est plutôt mignonne, j’ai essayé de le lui faire comprendre elle je crois que je lui ais fait peur, elle doit être homosexuelle.

Sixième Partie,
un petit intermède avec Azilis :


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Es-tu rêveuse ?
(Sourit) Il parait en effet

Comment t’imagines-tu dans 20 ans ?
Avec un mari qui m’aime, un ou deux enfants, un travail qui me plait. Mais malgré cela je serais toujours libre de faire ce qui me plait. Des voyages, des expériences inédites.

Pour qui voudrais-tu être un modèle ?
Mes petites sœurs.

Et qui prends-tu pour modèle ?
Ma mère.

Es-tu amoureuse ?
(Rougi) c’est trop banal d’être sentimentale.

Classe tes sept pêchés capitaux :
1 : orgueil
2 : gourmandise
3 : luxure
4 : colère
5 : envie
6 : avarice
7 : paresse

Ce dont tu ne pourrais pas te passer :
Ma famille, mes amis et mes livres.

Ce que tu déteste ?
Les préjugés, les gens fermés.

Le truc le plus fou que tu ais jamais fait :
(Hésite puis chuchote)Avoir embrassé une fille.

Ce que tu regrettes :
A part ma mère absolument rien enfin j’espère ne rien regretter ça serait une sorte d’idéal de vie.
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MessageSujet: Re: Azilis Everglotte   Azilis Everglotte Icon_minitimeLun 3 Nov - 10:14

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