Isabelle Roberts
Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 04/11/2008
| Sujet: isabelle roberts. (uc) Mar 4 Nov - 23:34 | |
| I. ÉTAT CIVIL.
- Nom :
Roberts.
- Prénom(s) :
Isabelle.
- Surnom(s) :
Isab', Bella.
- Âge :
19 ans.
- Poste souhaité :
Directrice de Poufsouffle. Professeur de SACM.
- Date et Lieu de Naissance :
12 février 1989.
- Sexe :
F.
- Orientation Sexuelle :
Hétérosexuelle.
- Baguette :
Pin, plume de phénix, ventricule de dragon.
- Sang :
Moldu.
II. EXAMEN SCOLAIRE : BUSES.
BUSES :
- Astronomie :
O
- Arithmancie :
A
- Botanique :
O
- Défense contre les Forces du Mal :
E
- Histoire de la magie :
A
- Métamorphose :
O
- Magie noire, théorie :
E
- Magie noire, pratique :
A
- Potions :
E
- Soins aux Créatures Magiques :
O
- Sortilèges :
E
III. VERITASERUM.
- Prénom :
Anna.
- Âge :
15 ans.
- Comment avez vous connu le forum ?
Loic.
- Comment trouvez vous le design du forum ?
A votre avis ?
- Comment trouvez vous l'intrigue du forum ?
Idem.
- Notez votre présence sur 7 :
Ca va dépendre. =/
- Exemple de RP :
- Spoiler:
T se dit qu'il aurait peut-être dû arrêter de boire lorsqu'il avait senti les premiers signes de l'ivresse se propager en lui. Mais tout le monde sait que le professeur de sortilèges n'est pas des plus sages. A cinq ans, il lançait ses hochets sur sa mère. A douze, il contrariait le prêtre par des arguments des plus hérétiques. A quinze, il polluait les esprits des jeunes filles auparavant innocentes. Alors, imaginez à vingt. Et, si possible, tentez de l'imaginer dans ses bons moments. Pas en cet instant précis. Car, en effet, quand T se leva, le dimanche matin, ce fut avec de tels maux de crâne qu'il y avait réellement de quoi serrer les dents. Un soupir s'en échappa pourtant ; l'habitude, sans doute. Il rejeta son édredon et alluma le lecteur audio d'un claquement de doigts, écoutant avec un plaisir terrible la chanson commencer. Les pas qui s'enchaînèrent à partir de là furent plus déshonorants qu'autre chose mais peu importait : ils le portèrent jusqu'à la salle de bains, où le jet de la douche vint émettre une substance glacée et terriblement liquide sur sa peau. Un frisson. Un vrai gamin, notre T national.
T - Mais c'est froid, cette saloperie.
La voix était plaintive, comme s'il attendait qu'un ange vienne l'aider. Mais il n'y avait personne. Et c'était là une des conséquences multiples des coups d'une nuit et des aventures de quelques semaines : personne à ses côtés le matin, personne avec lui pour la douche, personne pendant les repas, personne. « SUNDAY MORNING. » La tête de T passa par l'ouverture de la porte. Il jeta un long regard vers le lecteur audio, comme si le volume allait augmenter de lui-même avant de soupirer et de s'approcher. Le signe + se remplit bientôt d'eau, car l'index de T le pressionna jusqu'à ce qu'il n'y eut plus de changement. La matinée n'allait pas être si terrible, après tout. Il ne le savait pas, mais les gestes qu'il fit par la suite furent la réplique exacte de ceux d'un élève de sixième année qui allait se révéler particulièrement important, essentiel, même. Pour le moment, il n'était rien. Bientôt, il serait tout. Ainsi, il s'ébouriffa les cheveux, se lava les dents, mais, contrairement à l'autre, mit une chemise blanche, un jean et des chaussures au hasard avant de quitter sa chambre, son portable dans une poche et son MP3 dans les oreilles. Lassé de tout assez rapidement, il voulut changer de chanson et il y eut aussitôt un cri dans ses oreilles. Un sourire, pourtant, traversa l'ensemble de son visage. « I FEEL GOOD. »
T - Où sont passés les élèves ? Ils devraient pourtant se préparer pour -
Ce fut en ce moment crucial, sur le palier séparant le deuxième du troisième étage, que T se rendit compte qu'on était dimanche. Il lâcha alors un tel juron qu'il se couvrit aussitôt les lèvres de la main, espérant peut-être qu'ainsi personne ne se rendrait compte que quelqu'un venait de crier dans l'enceinte du château. Bon, se dit-il alors, on est dimanche, mais cela n'empêche que certains devraient se promener. D'un geste un peu inquiet, il releva le MP3 pour voir l'heure et eut un franc hoquet de stupeur. Six heures. PM. T releva aussitôt la tête vers le plafond.
T - Mais que t'ai-je fait, espèce de - ? Tu rigoles bien, hein ? Je n'en doute pas. Ecoute bien, alors. Qui rit le premier ne – rit pas le dernier. Non, ça n'est pas ça. Oh, et puis merde.
Il fit un doigt d'honneur au plafond puis continua sa promenade d'une humeur un peu moins bonne que précédemment. « I FEEL GOOD. » Mais non. Il n'y avait que ce chanteur lointain, apprécié par de moins en moins de monde, qui se sentait bien à l'instant présent. Lui ne se sentait pas bien. Et l'adolescent qu'il apercevait de là où il était non plus. Oh, physiquement, il avait l'air d'être en pleine forme, mais psychologiquement, quelqu'un qui danse, seul, dans un couloir, ne va pas bien. Aucun doute là-dessus. T s'approcha donc, avec une certaine lenteur, de ce phénomène qu'il n'était même plus sûr de connaître de vue. Il se rendit compte de plusieurs choses : d'abord, il était particulièrement beau ; ensuite, il chantait la même chanson que lui ; enfin, et il n'y avait hélas aucun doute là-dessus, il l'avait vu à la fête de la veille, la fameuse fête secrète de Pré au lard qu'il avait attendu impatiemment toute la semaine. Et il commençait à regretter. Comme d'habitude. Et puis, J finit la chanson. Et puis, T resta immobile.
T - C'est drôle. J'ai l'impression confuse que tu me rappelles quelqu'un. Oh, mais bien entendu, ça ne pouvait pas être toi, parce que tu es un élève, et que tu n'as pas le droit, et que tu es mineur, et que tu n'as pas l'air, hm, gay, vu d'ici, enfin peut-être que je me trompe, je parle tout seul, là, non ? Si. J'vais arrêter, maintenant, d'accord ? Et tu vas me dire « je veux réussir ma scolarité et pour cette raison, je ne parlerai jamais de ma vie de la soirée que j'ai vécu hier ». Quoique je ne sois même pas sûr que tu aies été à cette soirée. Ca se trouve, tu ne sais absolument pas de quoi je parle et ce sont les effets secondaires de l'alcool qui me mettent dans cet état là. Non, attends. Je suis sûr que c'est toi. Mais de toute façon, tu le dis, je le dis. Et puis, tu es viré. Tu ne veux pas être viré, non ? Non. Personne ne veut être viré. Et puis, je pourrais leur dire aussi que tu as un goût musical douteux. Je suis sûr que ça jouera en ta défaveur. « Oui, madame, c'est vraiment très grave, il écoute du James Brown. Plus personne de bien n'écoute du James Brown. Pardon ? Ah, oui, mais moi, c'est différent, moi, c'est culturel, vous comprenez ? Non ? En somme, c'est lui qu'il faut punir, madame, lui. » Je crois qu'il faut vraiment que je me taise.
Foutu alcool. Il n'y avait vraiment que lui qui pouvait amener T dans un tel état. Quoique. Certains ne disent-ils pas qu'il est déjanté à longueur de temps, que ses cours sont vraiment uniques, que ses relations avec les élèves également ? Si. Il y eut un bref silence et puis, enfin, un sourire se dessina sur les lèvres de T. Ce garçon était vraiment, fichtrement, beau.
- Code du Règlement :
- Spoiler:
Bloody Mary.
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